PSYCHANALYSE PAS MORTE…LETTRE SUIT ! (paru le 4 juillet 2024 chez L’Harmattan)

 

PSYCHANALYSE PAS MORTE…LETTRE SUIT !

(284 pages, paru le 4 juillet 2024 – L’Harmattan)

L’idée même de réel comporte l’exclusion de tout sens.
Ça n’est que pour autant que le réel est vidé de tout sens que nous pouvons un peu l’appréhender.

Jacques Lacan, le 8 mars 1977

Ce n’est pas que d’autres auteurs, et non des moindres – Karl Abraham, Sandòr Ferenczi, Mélanie Klein, etc. -, n’aient point compté dans l’élaboration et le développement de la psychanalyse, du temps de Freud et après, mais force est de reconnaître que deux « monuments » dominent cette histoire du mouvement psychanalytique, surtout pour nous Français ou francophones, mais pas que,…j’ai nommé : Sigmund Freud et Jacques Lacan.

C’est de ces deux monuments qui dominent, qui surplombent tout dans ce champ et pour cette discipline, la psychanalyse, qu’il est surtout question dans cet ouvrage, et dont nous avons utilisé une partie de leurs œuvres respectives pour contribuer à celui-ci.
Ils nous servent de fil d’Ariane pour toutes les questions cruciales de la psychanalyse abordées ici, directement ou indirectement.
Freud était évidemment freudien, puisque l’inventeur de la psychanalyse. Lacan, lui se dira toujours freudien. À Caracas, lors de son dernier Séminaire de l’été 1980, il renverra à l’assemblée de ses fidèles élèves :  »… Moi, je suis freudien,…à vous d’être lacanien. »

Ainsi, ce livre que tu vas lire, lecteur, est constitué de quarante-six petits ou grands chapitres.
Quarante-six chapitres donc, pour attrapper, autant que faire se peut, cette « chose » qu’on a appelée jusque-là et nommée depuis Freud (1896), « La psychanalyse ». « Science », théorie, pratique, discipline tout à la fois.

A la fin se dessine une avancée dans le savoir et la culture à nulle autre pareille. Psychanalyse, sinon immortelle, à tout le moins, et au mieux,… pérenne !
Souhaitons-la comme telle.

Sont abordés les thèmes suivants :

Un aveu. L’Inconscient. L’Œdipe. Le désir. La perte. Le transfert (1). Le transfert (2). “Vive la psychanalyse”. L’essentiel. Qui suis-je ? La transmission. La psychanalyse mortelle, Je dis toujours la vérité (Lacan). Un remède ou une utopie. L’argent. L’extra-territorialité. L’hystérique. Un Moi absent. Du sexe. Du féminin. La perte refusée. Le féminin, ou l’avenir de la psychanalyse. L’amour, le corps pas sans l’amour. Une femme conjugue le verbe “désiraimer”. Les hystériques de jadis. Le trait différentiel, hystérique et obsessionnel. Les quatre discours. Les non-dupes.Tuer le transfert, jouir de tout, ne plus rien désirer. Que veut dire avoir un corps ? L’homme machine et le sujet. Pérennisation de la psychanalyse. La formation du psychanalyste. Les dispositifs de transmission. La fin d’une analyse. L’avenir. Rencontrer les psychanalystes. L’invitation de la psychanalyse. Jouissance versus désir. Mensonge, psychose et perversion dans le conjungo. Le sexe naît pas tout. La psychanalyse est une cure de l’amour. Le clou, le manque et le désir. Du père, réel, symbolique, imaginaire. Œdipe de Freud, traitement de Lacan. Passeurs muets pour cartel sourd. L’enseignement, d’un ratage produire une réussite. Lacan, la fin.

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À propos de Jean-Michel

Pratique la psychanalyse, à Paris, depuis fin 1976. Ancien Chercheur au CNRS Ancien Maître de Conférences des Universités Psychanalyste Attaché à l'Hôpital de la Pitié-Salpêtrière (Paris)
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